l'as-tu déjà écouter ? l'as-tu déjà compris ? l'as-tu déjà observer ? l'as-tu déjà sentit ? cet être fourbe qui hante tes nuits Celui qui se nourrit de ton ennui tu te crois seule ? moi je ne le suis jamais suis-je fou ? ça personne ne le sait mais lorsqu'il décide d'arriver je n'existe plus, je disparais et un large sourire vient se marquer sur mon visage ou la folie est gravé connais-tu l'absence d'une conscience dans son propre corps ? pas de science c'est juste l'autre qui fait surface lui qui veut tellement laisser sa trace je ne me considére pas comme différent dans ce monde ou réside cette élément qu'est la folie de tout les dirigeant ou le racisme a une place de béligérant.
traite moi de fou, je ne te contridirait pas mais dites moi qui est capable de ressentir la présence même de son coté négatifs ... vous met rouvez différent de vous ? peut être bien , mais avez vous appris à me connaitre pour pouvoir me juger? je ne crois pas... et si vous n'en avez rien à faire d'apprendre à connaitre les gens , je vous offre une corde car vous serrez bien malheureux
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jusqu'à ce jour j'ai vécu , une vie bien alcoolisée il serait peut être temps de me réveiller mais au fond je sais que si je m'exécutais le passé reviens et ne fait que me persécuter . Je suis plongé dans un monde qui m'appartient ou le rêve demeure mon unique quotidient et je peux tracer ce long chemin cette fois de mes propres mains . il serait peut être temps d'ouvrir les yeux pour pouvoir admirer la beauté des cieux mais pour moi la vie se vie à deux et pour l'instant je demeure malheureux. peut être devrais-je conter l'histoire que renferme ce poussiéreux grimoire qui reste gravé au fond de ma mémoire et qui me fait perdre tout espoir . la cigarette demeure mon unique présent essaye de me changer si tu en a le cran prouve moi que l'amour n'est pas qu'un écran et guide moi avec un bel élant ...
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Loin sur ce long destin Je ne veux que tes mains Mais c'est ma faute, je crains De les avoir perdues ce jeudi matin Dans ce silence incertain Non ce n'est pas le destin C'est ma faute à moi Si je t'ai fait pleurer comme ça Je suis une âme bien sensible Mais maintenant je me sens débile De ne pas t'avoir donné Tout l'amour que je devais Cette réponse ne tiens qu'à toi Moi je l'attendrais par là Le long de ce chemin Ou je te vois au loin Je suis l'homme impuissant Devant tout ce temps Qui s'écoule lentement Ju'qu'au son que j'attends Pour savoir si ton destin Accepte que je prenne tes mains Ou bien m'enchaine sous terre Si c'est pour toi j'en serais fier Après tout l'a vie est éphemère
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Je suis l'homme blessé L'homme qui regrette d'être né Moi sur ce chemin je passe Et si souvent je trépasse Non loin du fleuve Un grande lumière brille J'en perds mon équilibre Mais avant qu'il pleuve Je demande mon chemin Et retrouve celui du chagrin Mais faut-il que je me tue Ou faut-il chanter le long des rues Pour savoir ou mène cet enfer Ce chemin n'est plus de terre J'ai les pieds dans l'eau Serait-ce quelques de mes sanglots La nuit à beau passé Rien ne s'éfface jamais ...
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blesser par la vie encore une fois j'ai pensais que je ne me relèverais pas de t'avoir perdu j'en suis tellement déçus et dans mon enfer je compte sur mes frères qui sans eux je pense je serais dans la démence et je crirais désespoir de ne plus jamais te voir de cette même façon qui était une dérision il faut pourtant qu je m'en détourne mais même si je me retourne cette année passé avec toi ma fait révée mille fois et quand vient le moment de se réveiller je vois mes yeux qui se mettent à pleurer je n'ai pas pu te dire ce jour là que je tenais vraiment à toi choqué par cette décision dont je ne comprends la raison sur mon chemin inscoussiant j'ai du faire rêver mon subconsciant dans les rêves du désespoire ou régne la magie noire je parle bien d'une eau qui en fait perdre les mots quelque peu alcoolisé j'ai finis par me noyer sans pouvoir me raccrocher à ton bras qui m'a délaisser
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